Douce-amère (Solanum dulcamara) Bittersüße Nachtschatten

Douce-amère (Solanum dulcamaraBittersüße Nachtschatten

Douce-amèreDouce-amère (Solanum dulcamara)
FR – La Douce-amère ou Morelle douce-amère (Solanum dulcamara), Morelle grimpante, Crève-chien, Herbe à la fièvre.
Famille des Solanacées
Biotope : bois à sols riches et humides.
L’ingestion des baies provoquerait douleurs abdominales, vomissements et céphalées.
Homéopathie Dulcamara : troubles par temps humide, troubles ORL, rhumatismes, verrue.
DE – Der Bittersüße Nachtschatten (Solanum dulcamara) ist eine Pflanzenart aus der Gattung der Nachtschatten (Solanum) innerhalb der Nachtschattengewächse (Solanaceae). Trivialnamen : Alpranke, Bittersüß, Hirschkraut, Heischkraut, Mäuseholz, Saurebe, Seidelbeere, wilde Stickwurz und Wasserranke.
Alle Pflanzenteile enthalten giftige Steroidalkaloide und mit diesen verwandte Saponine.  Anwendung
ENSolanum dulcamara, also known as bittersweet, bittersweet nightshade, bitter nightshade, blue bindweed, Amara Dulcis, climbing nightshade, fellenwort, felonwood, poisonberry, poisonflower, scarlet berry, snakeberry, trailing bittersweet, trailing nightshade, violet bloom, or woody nightshade, is a species of vine in the potato genus Solanum, family Solanaceae.
Utilisation médicale
Abcès – Affections articulaires – Bronchite – Dépurative – Diabète (équilibre) – Diurétique (élimination urinaire) – Drainage de la peau – Foie, hépatoprotecteur – infections ORL – Laxatif / purgatif – Obésité.

Toxicité : Plante potentiellement toxique, responsable de nombreux appels auprès des CAP
Nature du toxique : Glucoalcaloïdes stéroïdiques (hétérosides de la soladulcidine, du tomatidénol et/ou de la solasodine) et saponosides (soladulcosides notamment)
Organes incriminés : Plante entière mais ce sont les baies vertes qui seraient les plus riches en alcaloïdes (0,33-0,65 % de la masse sèche), puis les feuilles, les tiges et les baies mûres
Symptômes :
• Troubles digestifs : nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhées
• Troubles neurovégétatifs : mydriase, sécheresse des muqueuses, tachycardie, céphalées et parfois, délire, hallucinations, convulsions
• Dans les cas graves : coma calme, troubles respiratoires et cardiovasculaires, hémolyse.